-- III --
4 avril 2013
Je devrais parler du rôle de l'état dans le capital. Mais dans ce cas, je reviendrais sur tout ce qui a déjà été dit par des pseudo intellectuels du début du 20ème siècle.
Comment pourrais-je décrire ce dévouement politique qui, au fond, était depuis toujours comme un feu ardent au plus profond de moi, et que je redessinais au grès de ma vie à travers la créativité et l’étude des théologies. La peur de mes grands-parents, je suppose, de voir cette force en moi leur donnait froid dans le dos car est il vrai que l’Europe devait se relever de ses cendres par ce chevalier qui croirait dans les valeurs passées pour donner au présent un futur toujours plus fort. Je me détournais de ce chemin politique car j’avais peur de moi-même et mes actions avec la question qui résonnait dans ma tête d’enfant écorché vif : serait-ce la bonne décision pour tout un peuple ? Comment puis-je avoir la responsabilité d’un peuple dans mes mains ? D’où la deuxième question qui me brulait les lèvres : comment un incapable souvent même abruti pouvait arriver d’un poste d’une simple mairie à président de la république, alors qu’il n’était même pas capable de régler ses problèmes personnels de couples… Et encore moins la vision à court ou moyen terme de la dette qu’il venait d’édifier dans cette petite ville qui n’avait rien demandé à personne, à part de pouvoir vivre et comprendre le monde de demain. Alors tout d’un coup je me demandais pourquoi je leur faisais si peur, à ces marchands du temple, ces politiques et industriels. N’était-ce pas encore et encore la même histoire et le retour à des préjugés qui faisaient de moi le leader d’un peuple en déroute. Et si ils avaient tous peur de moi, n’était-ce pas parce que j’étais capable de les virer et de montrer qu’ils n’étaient pas indispensables, voire même qu’ils bloquaient le rythme d’une civilisation. Je ne vous prendrai pas des exemples concrets pour l’instant mais il est vrai que de toute façon, j’étais entièrement d’accord avec les systèmes judiciaires américains sur les anti trust.
De quel droit une personne pourrait s’autoriser à prendre un marché, surtout quand celui-ci avait été aidé par des ailes d’un pouvoir. J’étais donc décidé à faire main basse sur tout et je voulais que les peuples voient et se rendent finalement compte de cette abominable conspiration. Imaginons, si vous avez un milliard, pourquoi avoir plus ? N’en avez-vous pas avez assez ? Et bien non, pour ces messieurs qui préfèreraient ruiner des pays que de perdre un jeu où, à la fin, ce sont eux les perdants car ils sont le plus souvent tellement isolés qu’ils finissent entre 4 planches qui ne reflètent souvent même pas leur richesse. J’ai souvent vu, à cause de leurs femmes et de leurs amants respectifs qui sont d’ailleurs souvent les meilleurs amis.
Bref pour reprendre une expression à la mode, me voilà dans le moment où je dois prendre tout cela au sérieux. Oui, mais comment commencer ? Et par quoi ? Et le pire de tout, avec qui ?
La gauche et la droite n’existent pas. Tout ceci est un ramassis de conneries fait pour les analphabètes de moins de 6 ans. Ca revient à croire en des valeurs passées qui se battaient pour le pouvoir et non pour des convictions comme ont pu le faire Robespierre ou Che Guevara.
Alors je flânais chez tout le monde dans l’Europe, puis le monde, pour comprendre quels étaient les enjeux de ces politiques qui se disaient si différentes les unes des autres.
Puis la vérité m’apparut… Et si tout le monde politique courrait après un pouvoir comme une projection qui n’existait pas ??
Mais oui en fait, aucun d’entre eux n’avait la plus minime conviction de faire son sacerdoce dans cette profession de foi qu’était d’être un homme politique. Bien entendu, quand je dis « homme » je parle au sens de l’humain. Dans ce cas ci dessus les deux femmes et hommes sont bel et bien pris en compte.
On est bien loin de la cause et de ces personnes qui vont mourir pour cette image qui rayonne comme un soleil sans voix. Mais voilà, j’étais dans l’absolue vérité. Tout le monde se foutait de la politique.
Les politiques n’en avaient rien à foutre de vous, de la terre et de l’existentialisme kantien.
Oui, j’étais devant une métaphore du monde et j’allais la changer. Mais pour changer, il faut réécrire la vérité. Or, tous les lexiques d’écoles ont été pollués par des mensonges ou très souvent on a même exagéré pour prendre le parti de telle et telle solution. Mais voilà, c’était décidé. A partir de maintenant tous les signes, images ou autres symboles et symboliques des peuples viking, celtiques, gothiques seraient ma cause personnelle. Et oui, j’affirmerai que je n’aime pas les imposteurs qui ont pour moi les noms de De Gaule, Churchill, Staline et Roosevelt qui ont recréé l’abominable. C’est à dire le Traité de Versailles de 1919. Et je ferai tout pour retrouver cette Europe que j’aime et que je protège. Je rétablirais l’ordre. Non pas par la force mais par l’ordre et par les principes des traditions. Je ferai de ma vie le flambeau de mon identité et je parcourrai mon monde pour prêcher notre culture. J’étais pour ainsi dire halluciné et de plus en plus conscient du manque de culture et de cet emprisonnement dont nous avons été les esclaves en voyant les personnes me demandant si j’étais écossais, car je portais le kilt, symbole de tous les peuples viking, celtiques, gothiques. C’est à dire 17 400 tribus. Mais le pire c’est que ces mêmes personnes ne voyaient pas leur inculture de ne pas savoir que l’Ecosse avait compté deux grandes tribus : les Picts et les Scots.
Oui, en me penchant sur ma vision politique, je comprenais l’anéantissement de notre culture par une globalisation maoïste, histoire de penser pareil. Oui mais qui voulait cela si non les religions qui ne vivent que dans l’imposture et la médiocrité des peuples et font croire à certains élus qu’ils seront les nouveaux rois ou mages à travers des titres retentissant de mépris et d’opportunisme.
Je ne pouvais plus accepter les discours abjects de certains politiques tel que Hollande qui n’avaient vécu qu’entre Robuchon et Lipp. Ou encore mieux les Mélenchon arrivistes et fiers de l’être. Mais qui n’avait pour simple raisonnement que de vous faire croire ce que vous voulez entendre. Et comme aurait dit Coluche : « quand on pense qu’il suffirait que vous n’achetiez plus pour que ca ne vende plus : quand même vous exagérez un petit peu, non !!? »
Un peu d’humour pour faire passer la pilule diront mes détracteurs. Je n’ai pas besoin de personnes menaçantes pour répondre de qui je suis et de ce que je peux faire et de ce que je ferai de toute façon car ma vie n’a qu’un seul mot d’ordre aujourd’hui : mon peuple ou la mort.
Qu’était cette réalité qui nous emmenait le monde sinon dans les abimes du néant ?
J’étais tout d’un coup choque par le racisme de tous ses peuples dans toutes ses contrées lointaines. Amusant de voir que le chinois de Singapour me traiter de sale américain en me jetant à la gueule mon sac de provision. Et quelle vision de cette soi disant Afrique du sud encore plus raciste que les partis de l’apartheid mais tellement normal quand l’humain est sale. Oui, sale et désobligeant et comme les animaux a le concept du territoire qu’il a conquis.
Toutes les grandes causes comme les grands projets n’ont qu’un seul but celui de nuire au déroulement des organes du monde. Oui, l’écologie. Ce mot qui était apparu come une trainée de poudre pour que les politiques aient enfin quelque chose à dire sur les plateaux de télévisions. Car je vous le dis, je n’ai aucunement envie de serrer la main à ces imposteurs. Je préfèrerais leur couper plutôt qu’autre chose. Et je pense que ses nains l’ont bien compris. Donc l’écologie où les rapports pleuvaient de part et d’autre.
Oui mais qui fait quoi et comment ? Et de l’écologie, c’est bien ! Mais pour créer de l’emploi donc ou comment et quand ?? Ou lalalala ! Mais j’en demandais trop à des politiques incapables de créer quoique ce soit… Mais moi, j’en avais rien à faire de leurs réponses car j’avais déjà trouvé des moyens pour développer le business de l’écologie. Je me rappelle un jour où l’administration m’avait envoyé un espion caché derrière une belle panoplie de titres redondants, qui parlait du repêchage dune affinerie et son rapport pitoyable où ils avaient déjà décidé de la fermer alors qu‘ils continuaient a faire des promesses aux syndicats trop cons pour les croire ou faire croire à leurs militants qu’ils n’avaient pas payé une cotisation pour rien, sans un instant trouver le moyen de développer la raffinerie et non pas sauver des emplois mais en créer.
