Le peuple et la tradition -- II --

Le peuple et la tradition 

-- II --

13 avril 2013

Avant que les journalistes ou autres personnes n’essayent de me corrompre, je vais essayer de répondre à toutes les questions qui pourraient être épineuses. Oui, quand je parle du peuple, est-ce dans des propos populistes ? Ou simplement dans le sens du rassemblement ? Et bien ni l'un ni l'autre.

Quand je parle du peuple, je devrais plutôt dire LES peuples. Car, comme, je l'ai expliqué, nous sommes non pas divisés, contrairement à  ce que certains pourraient croire, mais au contraire multipliés en créant des tribus en fonction des régions et des familles. En effet, nos peuples vivent à travers notre tradition et celle-ci est bel et bien vivante en chacun de nous. On ne peut abandonner nos terres. Elles nous rappellent à chaque fois que quand on est a l'étranger, nos traditions nous manquent. J’étais capable dorénavant de distinguer le fondamentalisme de toutes les causes internationalistes qui avaient provoqué l'effondrement de la Russie et tourné la chine en ultralibérale.

Ce que j'avais remarqué depuis peu, c'était que nos peuples avaient complètement ou presque oublié nos traditions et notre culture à force des livres écrits par nos ennemis pour, après la 2^ème guerre mondiale, oublier tout ce qui a été fait par les uns et par les autres. Oui car il y a beaucoup plus de coupables qu'on ne le pense. Et il est tellement plus facile de juger ceux qui sont morts et ne peuvent se défendre ! Ceci d'ailleurs n'a pas été une preuve de démocratie. On a vu un acharnement sur notre culture au point de nous interdire notre folklore et nos langues maternelles.

Il faudrait plutôt aujourd'hui incomber les taches à chaque partie qui souhaite relever le défi de donner à ses enfants la culture des ces aïeuls.

C’est en réfléchissant encore et encore que je m'apercevais des escroqueries contre notre tradition. Mais pour vous, que veut dire tradition ? Ce n'est pas seulement porter un chapeau ou se couvrir d'un manteau… Mais c'est retrouver l'indispensable qui est ancré en chacun de nous et qui longe notre identité culturelle. Car c'est bien de celle-ci dont nous parlons. Cette même identité qui nous pousse à aider la tribu voisine pour lui apporter le soutien nécessaire pour accroitre ses opportunités.

En effet, les capitaux nous ont plongé dans une lutte sans fin. Celle de l'appât de l’argent.

Et aujourd'hui, regardez-vous ! Vous travaillez pour quoi ? Pour prouver quoi ? Que vous ne pouvez même pas vous payer 4 semaines de congés payés ? Alors à quoi sert ce jeu où à la fin vous êtes perdants, même en respectant les règles. Le seul but des politiciens c’est de prendre un peu plus tous les jours, sur votre dos, vu qu'ils n’ont jamais travaillé ou presque. Voire même ils ont oublié. Je me rappelle de cet acteur connu à Los Angeles qui me disait comment il avait été difficile pour lui de manager son après succès, passant de 10 000 dollars a 1 million voire plus… Pour s »retourner » à 10 000. Il m’expliquait comment on s'habitue au luxe et à la vie facile. Oui, mais voilà. La vie n'est pas facile et tout ce que l’on vous présente est de la pure propagande pour que vous continuiez à travailler et à acheter les produits que vous produisez pour enrichir une, cinq, dix ou même 100 personnes. Celles là mêmes qui jouent au tiercé gagnant dans les magazines tels que Forbes qui se joue du ridicule en donnant un classement de ceux qui ont plus de milliards que les autres.

Mais moi je prendrai le classement et je ferai arrêter tous ces gens. Car comptant ces 1 000 personnes et j'aurais résolu le problème de l'économie mondiale. Voilà, regardons notre tradition et voyons ensemble que nous ne sommes pas capitalistes ni communistes d'ailleurs. Nous sommes le peuple, ces tribus les plus vielles du monde qui nous battons pour un seul et même idéal, celui de crier notre liberté.