Le peuple et la tradition
-- I --
13 avril 2013
Pour moi, le peuple et la tradition avaient les résonnances d'un pouvoir d’une vérité et même peut-être la vérité. Dans tous les cas, la mienne. Et c'est ce que je pensais car j'avais envie de croire et de donner une espérance à ce monde qui avait perdu les principes d'être et de vivre. Tout ce que je voyais, c'était des êtres tels des zombies d'un film B qui se répétaient sans cesse que cette vie était meilleure que l'autre. Alors j'avais envie de crier et de bouger toutes ces vagues pour faire un monde meilleur. Un monde dans lequel je pourrai voir mon espoir d'être mon miroir et non la puanteur nauséabonde de ces peuples d’étrangers venus envahir ma terre et même la bruler.
Le devoir d'un état, d'une grande nation comme la notre, est d'avoir un respect pour notre capital qui doit être relativement clair et simple. Nous devons rester maitres de notre nation et ne pas plier devant les services de l'ennemi qui peut avoir n'importe quel visage. Vous avez oublié, après le lavage de cerveau que l'on vous a fait, que cette tradition est le symbole de l'union de notre grande nation et de nos peuples. Car oui, il existe en nous une lumière qui depuis l'aube des temps est protégée par Merlin, qui lui-même trouve son pouvoir dans le souffle du dragon.
Aujourd’hui, réveillez-vous et brandissez vos origines viking, celtiques, gothiques au lieu de ces vêtements de pacotilles qui sont fait dans des pays étrangers sous des marques et des noms qui vous placent des dans des cases pour vous dominer. Personne ne connait la vérité de la deuxième guerre mondiale. Et ceux qui la connaissent la taisent car ils en ont peur. Oui, peur de cette vérité qui fait mal.
Comme je vous l'ai dit, une personne ne peut déplacer les montagnes si les autres ne l'aident pas. Et oui, la triste vérité c’est que tout le monde a cru en un chemin qui portait parfois les couleurs d'un camp et parfois celles de l'autre. Mais à la fin, c’était toujours la même chose et le même sonnet : retrouver une terre qui s'était inventé un passé, un présent, voire même un futur. Mais l'odieux était encore pire que tout ça. On allait faire des livres qui allaient inventer des histoires pour vous faire croire qu’un monde avait existé, dans le seul but de vous dominer. Certains même, allaient s'imaginer reprendre un pouvoir ou se réinstaller alors qu’on leur avait déjà coupé la tête. La tradition est la fierté de notre continent, car notre peuple est né de celle-ci et continuera à vivre jusqu'à ce que le sang continue de couler dans les veines de notre famille.
Il faut soutenir une économie et le droit de ce sang qui coule en redonnant à chacun le pouvoir de décider d'aller jusqu'au bout. Car oui, la solution est là devant nous pour aller plus loin. Relevons-nous ! N'ayons pas peur de brandir nos bannières, de porter nos couleurs. Soyons fiers. Nous défierons l'impossible et nous jetterons à la mer les ennemis de notre civilisation.
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