lundi 30 décembre 2013

Robert Basseville de Normandie by Jarl Ale de Basseville

Robert Basseville de Normandie se révolta contre son père (1078). Il participa à la première croisade, fut spolié du trône d'Angleterre par son frère Henri Ier Beauclerc (1100) qui le vainquit et le dépouilla de la Normandie (1106).

Il se révolta contre son père en 1078 pour obtenir le duché de Normandie. A la mort de ce dernier, en 1087, il fut reconnu comme duc en Normandie. Par la suite, il tenta de s'emparer sans succès de la couronne d'Angleterre, dont son frère cadet, Guillaume le Roux 
Basseville de Normandie , avait hérité. Guillaume vainquit Robert à Rochester en 1089.
Il partit pour la Première Croisade (entre 1096-1100) et s'illustra dans à Antioche et Jérusalem.
Il fut vaincu à la bataille de Tinchebray le 28 septembre 1106 par son frère cadet Henri Beauclerc, qui avait hérité du royaume d'Angleterre en son absence, et par Alain Fergent, duc de Bretagne. Fait prisonnier par son frère, qui s'empara de son duché, Robert finit ses jours emprisonné dans le château de Cardiff, où il passa vingt-huit ans.

2 - Robert II de Normandie dit Robert Courteheuse (vers 1051/1052 – février 1134, château de Cardiff), fut comte du Maine de 1063 à 1069, puis duc de Normandie de 1087 à 1106. Il fut aussi un prétendant malheureux au trône d'Angleterre. Son surnom de Courteheuse (Courte botte) provient de sa taille râblée. Fils aîné de Guillaume le Conquérant, il hérita à sa mort du duché de Normandie (1087) mais se heurta aux ambitions de ses deux frères cadets, Guillaume le Roux et Henri Beauclerc 
Basseville de Normandie, rois successifs d'Angleterre. En 1106, le second lui infligea une défaite à la bataille de Tinchebray et le captura. Robert termina sa vie comme prisonnier. L'historiographie anglo-normande le dépeint comme un prince faible et turbulent mais rappelle aussi ses exploits guerriers lors de la première croisade.
Robert Basseville Courteheuse sous le règne de Guillaume le Conquérant (1051-1087)
Le comte nominal du Maine
Robert est le fils aîné de Guillaume Basseville de Normandie  le Conquérant, duc de Normandie, et de Mathilde de Flandre. En 1058, le comte du Maine Herbert II s'échappe du Mans occupé par le comte d'Anjou et se réfugie à Rouen. Sans enfant, il lègue à Guillaume le comté du Maine et fiance sa sœur au jeune Robert Courteheuse. Après la mort d'Herbert, Guillaume occupe le Mans et y intronise son fils (1063). Ce dernier n'ayant alors que 11 ou 12 ans, le duc de Normandie est donc le véritable maître du Maine.
Robert ne participe pas à la conquête de l'Angleterre par son père en 1066 mais ce dernier l'avait désigné avant de partir comme son héritier. L'année suivante, il est chargé avec sa mère de diriger le duché de Normandie pendant le séjour de Guillaume outre-Manche.
En 1069, les Normands sont chassés du Maine. Ce n'est que quatre ans plus tard que le duc Guillaume peut intervenir. Il lance une expédition en hiver qui lui assure la réoccupation du comté. Bien que comte et âgé d'environ vingt ans, Robert Courteheuse ne fait pas partie de la campagne. Son père ne semble pas avoir jugé nécessaire de l'avoir à ses côtés.
Une période d'errance
Le rupture entre Guillaume et Robert intervient en 1077 suite à un incident. Le chroniqueur Orderic Vital explique les faits. Le duc et ses trois fils logent dans une maison de l'Aigle. Les deux plus jeunes, Guillaume Le Roux et Henri, s'amusent aux dés, font grand bruit et, de l'étage, déversent de l'eau sur Robert et ses amis. Furieux, Robert s'apprête à corriger ses frères mais le duc intervient pour freiner sa fureur. Le lendemain, Robert quitte en secret l'armée ducale, tente en vain de s'emparer du château de Rouen puis avec quelques compagnons s'exile de Normandie.
Les historiens ont donné deux explications à cette rébellion. D'abord, Robert ne supportait plus que son père ne lui confiât aucun territoire. Non pas que le jeune prince fut un homme épris de pouvoir mais il voyait ces terres comme un moyen de subvenir lui-même à ses besoins financiers et à ceux de sa suite. Or, comte du Maine et héritier du duché de Normandie, il n'avait aucun pouvoir sur l'un ou sur l'autre et donc aucune ressource propre. Son roi de père ne voulait pas partager son autorité. Probablement avait-il peu confiance dans les qualités de gouvernement de son fils aîné. En plus de cette frustration, la révolte de Courteheuse peut s'analyser comme un « classique conflit de génération ». D'un côté, un père représentant d'une époque austère. De l'autre, un prince libéral, fastueux, témoin d'une jeunesse bouillonnante.
Robert Courteheuse 
Basseville de Normandie trouve d'abord refuge chez son oncle Robert le Frison puis à la cour du roi de France Philippe Ier, soit deux ennemis du duc de Normandie. Le Capétien ose confier au rebelle la forteresse de Gerberoy face à la frontière normande. Piqué, Guillaume le Conquérant va assiéger le château en 1078. Les deux hommes se réconcilient en 1080. Robert reçoit des responsabilités en Angleterre aux côtés de son oncle Odon de Bayeux. Puis il préfère s'exiler à nouveau en 1083.
Il ne réapparaît en Normandie qu'en 1087, après la mort de de son père. Au préalable, le mourant avait pardonné à son fils aîné et lui avait attribué le duché de Normandie tandis que Guillaume le Roux avait reçu le royaume d'Angleterre. Quant au plus jeune des enfants mâles, Henri, sa part consistait en une forte somme d'argent.
Robert Courteheuse, duc de Normandie (1087-1106)
Robert devient donc le nouveau duc de Normandie à la mort de son père Guillaume le Conquérant, le 9 septembre 1087.
L'anarchie
La tâche de Robert est compliquée très tôt par le fait que les principaux barons normands tels Guillaume d'Évreux, Raoul II de Tosny, Guillaume de Breteuil ou Robert II de Bellême ont pris le contrôle des châteaux en expulsant leurs garnisons ducales, aussitôt la mort du Conquérant connue.
Les désordres reprennent. « La province tombait en dissolution, les brigands parcouraient en troupes les bourgs comme les campagnes, et des bandes de voleurs se livraient à toute sorte d'excès contre le peuple désarmé » sans que le duc réagisse. La dégradation de l'autorité ducale se perçoit à travers le retour des guerres privées. Guillaume le Conquérant avait réussi à les contenir, chose que son fils n'arrive pas à faire. Guillaume de Breteuil dispute le château d'Ivry-la-Bataille à son vassal Ascelin Goël. Robert II de Bellême rallume la vieille querelle entre sa famille et les Giroie et leur alliés, les Grandmesnil tandis que le comte d'Évreux, Guillaume ravage les terres de Raoul II de Tosny.
Autre difficulté pour le duc : la noblesse qui a souvent des terres de chaque côté de la Manche est partagée entre le soutien à Robert et le soutien à Guillaume le Roux. Des seigneurs incitent chacun des deux frères à s'emparer du domaine de l'autre. Dans un premier temps, le duc de Normandie est à son avantage. En 1088, une coalition de puissants barons tant en Angleterre qu'en Normandie, peut-être attirés par sa prodigalité, se déclare en faveur de la réunion des deux parties sous la direction de Robert. Une rébellion contre le roi d'Angleterre s'organise pour le renverser. La rébellion échoue. Puis, c'est au tour de Guillaume le Roux de se trouver en position de force. Il rallie plusieurs barons normands (Roger de Mortemer, Robert d'Eu, Etienne d'Aumale, Gautier II Giffard, Gérard de Gournay) et débarque en 1091 à Eu. Robert Courteheuse prend peur. Finalement, les deux frères se rencontrent à Rouen et se réconcilient. Le roi d'Angleterre accepte même d'aider Robert à récupérer toutes les terres qu'il a dû concéder dans le duché pour s'attacher des fidélités. Au premier chef, est visé Henri Beauclerc qui a reçu du duc le Cotentin et l'Avranchin en 1087/1088 en contrepartie d'une bonne partie de l'argent qu'il a reçu en héritage. Ensemble, Robert et Guillaume mènent campagne contre leur cadet. Ils l'assiègent au Mont-Saint-Michel. Henri rend la place et s'exile.
Par le traité de Caen (18 juillet 1091), les deux frères se désignent héritiers l'un de l'autre et font rédiger un texte appelé Consuetudines et Justitie. Ce document est important pour les historiens puisqu'il rappelle les prérogatives du duc en Normandie, telles qu'elles existaient du temps de Guillaume le Conquérant. Preuve de leur entente, Robert Courteheuse accompagne Guillaume le Roux en Angleterre pour l'aider à repousser l'invasion du roi d'Écosse, Malcolm III Canmore. Le duc revient en Normandie avant la fin de l'année 1091.
Ensuite, les relations se dégradent à nouveau. Les termes du traité de Caen sont rapidement bafoués, et Robert le répudie à la Noël 1093. Le roi d'Angleterre conservait de nombreux partisans en Normandie, notamment au nord de la Seine. Avec leur appui, le 11 mars 1094, il débarque à Eu et s'empare du château de Bures-en-Bray, qui appartenait à un partisan du duc.
En 1096, le légat du pape parvient à établir un accord entre les deux frères. Robert Courteheuse confie la garde du duché à Guillaume le Roux qui, en échange, lui offre 10 000 marcs d'argent, cette somme servant à financer le départ du duc à la croisade. En effet, l'année précédente, le pape Urbain II a lancé un appel aux évêques et aux chevaliers pour qu'ils partent libérer la Terre Sainte des Musulmans. Robert Courteheuse y répond favorablement.
Robert en croisade (1096-1100)
En septembre 1096 Robert part donc pour la Terre sainte dans la première croisade.
Beaucoup de seigneurs et ecclésiastiques normands accompagnent le duc de Normandie : Étienne d'Aumale, Gérard de Gournay, les évêques Odon de Bayeux et Gilbert Fitz Osbern. Plusieurs princes voisins se placent sous sa bannière tels le duc de Bretagne, Alain Fergent, le comte de Blois-Chartres, Étienne-Henri et Robert II de Flandre. Cette forte armée s'arrête en Italie du Sud, chez le Normand Roger Borsa, duc d'Apulie et y passent l'hiver. Résultat, Courteheuse est le dernier prince à rejoindre l'Empire Byzantin, base arrière de la croisade.
Le duc fait partie des participants les plus importants de la croisade aux côtés de Bohémond de Tarente, de Raymond IV de Toulouse et de Godefroi de Bouillon. Or, son rôle dans cette guerre s'avère plutôt faible compte tenu de son rang et de la taille de son armée. Apparemment, il ne figure pas parmi les commandants lors des batailles ou des sièges. Il finit même par accepter de l'argent du comte de Toulouse et devient ainsi son homme pour le restant du voyage jusqu'à Jérusalem. C'est finalement la légende qui augmentera les exploits de Robert Courteheuse en Orient, une légende qui nait alors que le duc n'est pas encore mort. On racontera notamment qu'il vainquit en un combat singulier le chef sarrasin Kerbogha peu après la prise d'Antioche par les Croisés.
Après la prise de Jérusalem (8 juillet 1099), Robert revient en Normandie. S'il n'a pas obtenu de territoire en Orient comme son compatriote Bohémond de Tarente, la croisade lui a apporté la gloire. De plus il revient avec une épouse ramenée d'Italie du Sud, Sybille de Conversano, fille du comte normand Godefroi de Conversano et petite-nièce de Robert Guiscard. De cette union naîtra un fils, Guillaume Cliton, héritier du duché de Normandie.
Si le duc de Normandie récupère son duché sans opposition, il arrive quelques semaines trop tard. Guillaume le Roux est mort accidentellement un mois auparavant et son frère Henri Beauclerc en a profité pour s'emparer de la couronne d'Angleterre (5 août 1100).
Robert contre son frère Henri (1100-1106)
Se sentant frustré, Robert, poussé par l'ancien évêque de Durham, Rainulf Flambard et plusieurs barons envisage alors une expédition pour prendre la couronne d'Angleterre à son frère Henri. En 1101, il débarque à Portsmouth avec son armée. Le roi d'Angleterre et ses fidèles accourent à sa rencontre. La bataille est imminente mais la diplomatie permet d'éviter l'affrontement. Par le traité d'Alton, Robert accepte de renoncer à sa prétention sur le trône anglais contre une rente annuelle de 3000 livres et la cession de toutes les possessions d'Henri en Normandie.
Cependant, les actes belliqueux de part et d'autre rendent rapidement caduc le traité d'Alton. Il faut de nouvelles entrevues en 1102 et en 1104 pour réconcilier les deux frères mais la paix n'est que provisoire. La situation n'est pas sans rappeler les relations entre Robert Courteheuse et Guillaume le Roux quelques années plus tôt.
En 1105, le roi d'Angleterre débarque en Normandie. Il sait qu'il peut compter sur l'appui de nombreux Grands qui le considèrent comme leur seigneur. Cette fois, les tentatives de conciliation échouent. Les deux frères veulent en découdre. La bataille a lieu le 28 septembre 1106 à Tinchebray dans le sud-ouest du duché. Henri inflige une défaite décisive à l'armée de Robert qu'il capture. Henri se proclame duc de Normandie et, conscient du danger, refuse de libérer son frère.
Un long emprisonnement (1106-1134)
Robert est emmené en Angleterre et enfermé d'abord à Wareham (Dorset) brièvement, puis à Devizes (de 1106 à 1126), et enfin au château de Cardiff (pays de Galles). Son fils, Guillaume Cliton 
Basseville de Normandie, alors enfant, échappe aux mains du roi d'Angleterre. Devenu majeur, il tentera en vain de récupérer le duché de son père et trouve la mort en 1128. Dans sa prison, Robert lui survivra puisqu'il meurt en février 1134, à plus de 80 ans, au terme d'une captivité aux conditions honorables.
Il est inhumé dans l'église abbatiale Saint-Pierre à Gloucester, où un mausolée sera construit. Son frère paie une bougie qui devra brûler éternellement pour le salut de son âme.
Un mauvais prince ?
Robert fut desservi par la majorité des sources médiévales. Le jugement d'Orderic Vital à propos de son règne est sévère : « enclin à l'engourdissement et à la paresse, il ne gouverna jamais, comme il convient, dans la vertu et la justice ». Si le moine lui reconnaît quelques qualité (« hardi, vaillant dans les armes, habile à tirer de l'arc, ayant la voix claire et nette, la langue éloquente »), il lui reproche sa prodigalité, son caractère influençable, et surtout sa faiblesse. Cette image négative a inflencé les interprétation modernes sur son règne. Il est souvent décrit comme un dirigeant faible, mou, prodigue jusqu'à en devenir impécunieux. L'historien François Neveux complète : « Son idéal semblait être de vivre dans le luxe, l'oisiveté et le plaisir. Ce n'était pas un homme d'État ».
Certes quelques contemporains ont préféré souligner ses prouesses chevaleresques et le peindre comme un héros de la Première croisade mais ces qualités et ces hauts-faits s'avèrent dérisoires pour une historiographie moderne qui juge les princes selon leur capacité à administrer un territoire et à réprimer leurs vassaux. En cela, il s'oppose clairement à ses frères Guillaume le Roux et Henri Beauclerc, tous deux jugés durs et intraitables, et donc bons, par les historiens. La dernière biographie sur le personnage, écrite par William M. Aird, offre une évaluation plus positive de l'œuvre de Robert.
Famille et descendance
Fils de Guillaume le Conquérant, duc 
Basseville de Normandie et roi d'Angleterre, et de Mathilde de Flandre, il fut fiancé à Marguerite († 1063), sœur d'Herbert II, comte du Maine. Il épousa Sybille de Conversano († 1103) en 1100. Ils eurent deux fils :
Guillaume Cliton 
Basseville de Normandie († 1028), comte de Flandre de 1127 à 1128.
un fils dont le prénom est inconnu, né en 1101.
Il eut aussi plusieurs enfants illégitimes de maîtresses inconnues :
une fille qui épousa Hélie de Saint-Saëns.
Richard (v. 1079 – v. 1099), qui fut tué à la chasse dans la New Forest dans des conditions étrangement similaires à celles qui virent la mort de son oncle Guillaume le Roux quelques mois plus tard.
Guillaume (v. 1079-1111), qui fut tué à Jérusalem alors qu'il s'était exilé en Terre sainte suite à la défaite de son père.

dimanche 22 décembre 2013

Reich est un terme de la langue Scandinave


Reich est un terme de la langue Scandinave désignant à l’origine le territoire sur lequel s’exerçait la puissance et la souveraineté d’un prince, d’un roi ou d’un empereur, et plus tard celle d’un État. Il correspond au latin imperium, qui désigne le pouvoir suprême de commandement et le territoire sur lequel il s’étend.

Source : Wikipedia

J'ai vu récemment sur Salut Les Terriens (car j'aime tout regarder) :


J'ai vu récemment sur Salut Les Terriens (car j'aime tout regarder) :

Il y a cette femme Cathy Cavaleiro qui raconte n'importe quoi sur la mort. Et heureusement que Michel Onfray l'a mise sur la touche. 

Toutes ces histoires de l'après la mort

à travers un avec ou autres 

sont entièrement fausses et ces imposteurs sont dangereux... 

A. Alé de Basseville

Khatchik Kachatryan, 19 ans et renvoyé en Armenie.


Khatchik Kachatryan, 19 ans et renvoyé en Armenie. 
Il ne veut pas faire son service militaire : cela s'appelle déserteur. Quelle honte !!!

De plus pour une personne soi-disant faisait ses études en France il parle un français extrêmement médiocre avec un accent à couper au couteau et en faisant des erreurs grossières. Par exemple en utilisant le verbe avoir au lieu du verbe être. 

Nous devons accepter les étrangers qui veulent apprendre uniquement si ils signent une charte comme quoi ils reviennent dans leur pays à la fin de leurs études et remboursent la nation de tout ce qui aura été dépensé pour eux.
Ils devront, dans la charte, accepter de sponsoriser un ressortissant Arménien pour lui même faire des études en France.

A. Alé de Basseville

Nous ne devons plus payer d’impôts quels qu’ils soient : pv, taxe d'habitation, tva... Tant que Cahuzac n'est pas en prison.


Déclaration du tic du 12 décembre 2013

Nous ne devons plus payer d’impôts quels qu’ils soient : pv, taxe d'habitation, tva... Tant que Cahuzac n'est pas en prison.
Si nous voulons faire réagir le gouvernement, nous devons créer un fond où seront versés tous les impôts et taxes en tout genre et sera remis a l’état le jour ou Cahuzac sera en prison. Vu que l'état et Hollande ne font rien, alors il faut faire réagir mais ce n'est certainement pas en votant le FN et encore moins l'UMP ou le PS.
Pour ne pas citer les mouvements staliniens dont les dirigeants devraient être en prison pour avoir été les agitateurs à la révolte dans les 70 à travers les groupes armés qui kidnappent tout et n'importe qui.

Le TIC propose de composer son propre gouvernement et sa propre milice.

A. Alé de Basseville

Déclaration du tic du 12 décembre 2013


Déclaration du tic du 12 décembre 2013

Si Hollande et Z'Ayrault sont d'accord de faire des changements sur la laïcité en donnant aux étrangers le pouvoir dans l’état nation de porter le voile, d'apprendre les langues arabiques et africaines et tout le reste, je leur exige le droit d' autoriser le port de la hakenkreuz et de tous les symboles interdits depuis la dernière guerre. De parler les langues norroises et régionalistes, de pouvoir se saluer de maniere viking et tout ce qui se rapporte aux traditions identités et cultures vikings celtiques et gothiques.

A. Alé de Basseville

jeudi 12 décembre 2013

books of Family de Basseville


Inventaire sommaire série B tome II - AD Finistère
Autor: F.-M. LUZEL, H. BOURDE DE LA ROGERIE & H. WAQUET
...Sept-Saints, contre J. Crauzon. 1713.- Pierre Bernard, seigneur de Basseville, capitaine du navire la Galère d'Elswie, conr tre G. de...(Landerneau - 1713)

Autor: Archives d'Ille-et -Vilaine, Édouard Quesnet, Paul Parfouru, Catherine Laurant
...etc. - Moncontour : MM. Guillaume Thébault, seigneur de Basseville, 80 écus , du Tertre de Lys, 120 écus, damoiselle...(Morlaix - 1600)

Inventaire sommaire série B tome II - AD Finistère
Autor: F.-M. LUZEL, H. BOURDE DE LA ROGERIE & H. WAQUET
...concernant Catherine Bertrand, veuve de Jean Le Guillou, seigneur  de Basseville, avocat. 1740. - Louise des Vignes de la Publaye,...(Brest - 1740)

Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Seine-et-Oise : Archives ecclésiastiques : Sér. G : Articles 1-1167
Autor: Émile Louis Coüard
...1665. -François de Mornay, écuyer. Margueritte de Basseville ", 1666-1667. - Joseph de Motet, sieur de Laval, gendarme de la...(Paris - 1666)

Collection complète des lois, décrets, ordonnances, réglements, et avis du Conseil d'Etat / J. B. Duvergier - 1834 (T34)
Editor: A. Guyot et Scribe (Paris)
Bulletin de la Société polymathique du Morbihan
...du sieur Hugon de Basseville (Jean-François-Marie-Joseph-Edouard), son fils, né à Paris le 9 janvier 1791....
Paris - 1791)


Editor: Revue de Bretagne, de Vendée et d'Anjou
...La lettre suivante de M. Pierre Buisson de Basseville (le gendre de M. de Granval, l'un des anciens propriétaires de...( 1770)

Autor: Martinet - Editor: H.-T. Hamel (Paris)
...administratives J HUGON DE BASSEVILLE (Jean-François-Joseph-Edouard), né le 9 janvier 1791, à Paris, élève le 10 janvier 1808, à l'école...(Paris - 1791)

Rome : lettres d'un pèlerin. T. 1 / par Edmond Lafond
Autor: Lafond, Edmond - Editor: A. Bray (Paris)
...Naples avait expédié son secrétaire, Hugues de Basseville, et le major Deflotte au consul de France à Rome pour lui...(France - 1793)

Bulletin de la société archéologique du Finistère - 1906 (33)
Autor: société archéologique du Finistère - Editor: Société archéologique du Finistère
...ce dernier la transmirent aux Bernard de Basseville. Madame veuve Bernard de Basseville, née Marzin, y résidait sous la Révolution...( 1674)

Histoire de la Révolution de France. Partie 3 / Tome 14 / par A. F. Bertrand de Moleville,
Autor: Bertrand de Molleville, Antoine-François - Editor: chez Giguet (Paris)
...pension seroit faite à la famille de Basseville, qu'on livreroit au général seize cents chevaux tout enharnaehés, et qu'on remettroit...(Paris - 1797)

Archives parlementaires de 1787 a 1860 (Volume 14)
...BUISSON DE BASSEVILLE (Pierre), 52. F. 1770 100 Sans retenue , pour récompense de ses services, comme ci-devant...( 1770)

Archives civiles (Volume 03)
Autor: Seine-et-Marne, France (Dept.) Archives
...très-haut et très-puissant seigneur Mgr Chrétien-François de Lamoignon, chevalier, marquis de Basseville, baron de Saint-Yon, seigneurde Lamoignon, Boisjardin, Chàteau-Fremée,...(Paris )

Les anciennes maisons de Paris sous Napoléon III (Volume 2)
Autor: Lefeuve, Charles, 1818-1882
... Pierre Jubert de Basseville, ingénieur du roi, a dressé en 1739 un atlas de la...(Paris - 1739)

Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts - 1905 (10)
Editor: Société nivernaise des lettres, sciences et arts
...femme, avoir vendu à monseigneur Jehan le Grand, seigneur de Basseville, une pièce de terre assise entre le Fillou et...(Toucy - 1942)

Inventaire sommaire série B tome II - AD Finistère
Autor: F.-M. LUZEL, H. BOURDE DE LA ROGERIE & H. WAQUET
...de), 59. Kersauson de Basseville (Louis de), 337. Kersauson de Créachbiquet (Charles de), 15,144. Kersauson de Goasmelquin (François-Marie de), 113....

Inventaire sommaire série B tome II - AD Finistère
Autor: F.-M. LUZEL, H. BOURDE DE LA ROGERIE & H. WAQUET
...Menez de Basseville (Vincent), 19. Ménez-Cruguel-ar-Hat en Milizac, 166. Ménez-Kervaer en Locmaria-Plouzané, 165. Ménez-Rigochet en Locmaria-Plouzané, 166. Mengant...

Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais - 1901 (15)
Autor: Société historique et archéologique du Gatinais - Editor: Société historique et archéologique du Gatinais
...26 juillet. - Christophe de Basseville, sieur de Longpré,...

Bulletin monumental v.16 (1850)
Autor: Société française d'archéologie - Editor: Société française d'archéologie
...présentes lettres " verront, frère Guy de Basseville, grand-maistre et commandeur des " maisons de Tordre du Temple en France,...

Bulletin de la Société nivernaise des lettres, sciences et arts v.20
Autor: Société Nivernaise des Lettres, Sciences et Arts, Nevers - Editor: Société nivernaise des lettres, sciences et arts
...femme, ont eschange à monseigneur Jehan le Grand, seigneur de Basseville, tout leur fief et droict dépendant, que Marguerite la...


Chroniques d'histoires publiés dans le Bulletin paroissial de Roscoff
Autor: abbé Jean Feutren
...Commission de guerre pour le sieur de Basseville Bernard, capitaine de la frégate la "MARIE-THERESE" de Roscoff, du port de...(Morlaix - 1702)





Kerouartz de Basseville


the origins

Family origins would Kerouartz an English knight, Auralus Houart Miles, sent in 1164 by the King of England to the aid of Duke Conan IV of Brittany, which would have built a castle-Ker Houart whose name would eventually be transformed in "Kerouartz". This castle was originally built in the parish of Landéda but destroyed several times by the English, it was rebuilt in Lannilis, about 3 km from its location primitif1.
In 1669, the family is recognized Kerouartz "lord of the said place, Keringarz, Fosse, the Coulm of Laurenlemen of Keranroux of Bergoët and Ploudiner in Lannilis; of Kermarho, Isle, lord of Basseville, of Lézérazien and Lomenven in Guiclan; de Penhoet in St. Thégonnec; of Kerthomas of Penvern and Lomélar in Plounéventer; City-Aubrey and Lossulien in Guipavas; Wood-Boixel of Kermellec of Coateozen in Landouzan; of Kergroadez in Plourin "2.
In 1789, three family members of Kerouartz participate in elections of deputies of the nobility to the Estates General: Alexander Kerouartz, Jacques-Joseph Kerouartz and Jacques-Louis-François-Marie Toussaint Kerouartz3.
Kerouartz Castle was sold as national property during the French Revolution.


Les origines

La famille de Kerouartz aurait pour origines un chevalier anglais, Auralus Houart Miles, envoyé en 1164 par le roi d'Angleterre au secours du duc Conan IV de Bretagne et qui aurait construit un château Ker-Houart dont le nom se serait par la suite transformé en "Kerouartz'". Ce château aurait été initialement construit dans la paroisse de Landéda, mais détruit à plusieurs reprises par les Anglais, il aurait été reconstruit à Lannilis, à environ 3 km de son emplacement primitif1.
En 1669, la famille de Kerouartz est reconnue « seigneur du dit-lieu, de Keringarz, de la Fosse, du Coulm, de Laurenlemen, de Keranroux, de Bergoët et de Ploudiner, en Lannilis ; de Kermarho, de l'Isle, seigneur  de Basseville, de Lézérazien et de Lomenven en Guiclan ; de Penhoët en Saint-Thégonnec ; de Kerthomas, de Penvern et de Lomélar, en Plounéventer ; de la Ville-Aubray et de Lossulien en Guipavas ; de Bois-Boixel, de Kermellec, de Coateozen, en Landouzan ; de Kergroadez, en Plourin »2.
En 1789, trois membres de la famille de Kerouartz participent aux élections des députés de la noblesse aux États généraux : Alexandre de Kerouartz, Jacques-Joseph de Kerouartz et Jacques-Louis-François-Marie-Toussaint de Kerouartz3.
Le château de Kerouartz fut vendu comme bien national pendant la Révolution française.

Jarl Ale die basseville die normandish ash vikingal


Subject: Jarl Ale die basseville die normandish ash vikingal
>
> in old languange : halla, grosmunder krass gutter mein irt vur belt kamp ,
>
> family background of viking basseville die normandish norsemein Jarl .
>
> Norsemen split into an Old East Norse and an Old West Norse group,
> which further
> separated into Icelanders, Faroese and Norwegians on one hand, and Swedes and
> Danes on the other. Politically, the union between Norway and Sweden
> was dissolved
> in 1905, and the Republic of Iceland was established in 1944. In Great
> Britain,
> Germanic people coalesced into the Anglo-Saxon or English people
> between the 8th
> and 10th centuries..
>
> The various Germanic Peoples of the Migrations period eventually
> spread out over a vast expanse
> stretching from contemporary European Russia to Iceland and from
> Norway to North Africa. The
> migrants had varying impacts in different regions. In many cases, the
> newcomers set themselves
> up as over-lords of the pre-existing population. Over time, such
> groups underwent ethnogenesis,
> resulting in the creation of new cultural and ethnic identities (such
> as the Franks and Galloromans
> becoming French). Thus many of the descendants of the ancient Germanic
> Peoples do not speak Germanic
> languages, as they were to a greater or lesser degree assimilated into
> the cosmopolitan, literate
> culture of the Roman world. Even where the descendants of Germanic
> Peoples maintained greater
> continuity with their common ancestors, significant cultural and
> linguistic differences arose
> over time; as is strikingly illustrated by the different identities of
> Christianized Saxon
> subjects of the Carolingian Empire and Pagan Scandinavian Vikings.
>
> More broadly, early Medieval Germanic peoples were often assimilated
> into the walha substrate
> cultures of their subject populations. Thus, the Burgundians of
> Burgundy, the Vandals of
> Andalusia and the Visigoths of western France and eastern Iberia all
> lost their Germanic
> identity and became part of Latin Europe. Likewise, the Franks of
> Western Francia form part
> of the ancestry of the French people. Examples of assimilation during
> the Viking Age include
> the Norsemen settled in Normandy and on the French Atlantic coast, and
> the societal elite in
> medieval Russia among whom many were the descendants of Slavified
> Norsemen (a theory, however,
> contested by some Slavic scholars in the former Soviet Union, who name
> it the Normanist theory).
>
> Conversely, the Germanic settlement of Britain resulted in
> Anglo-Saxon, or English, displacement
> of and/or cultural assimilation of the indigenous culture, the
> Brythonic speaking British culture
> causing the foundation of a new Kingdom, England. As in what became
> England, indigenous Brythonic
> Celtic culture in some of the south-eastern parts of what became
> Scotland (approximately the
> Lothian and Borders region) and areas of what became the Northwest of
> England (the kingdoms of
> Rheged, Elmet, etc) succumbed to Germanic influence c.600-800, due to
> the extension of overlordship
> and settlement from the Anglo-Saxon areas to the south. Between c.
> 1150 and c. 1400 most of the
> Scottish Lowlands became English culturally and linquistically through
> immigration from England,
> France and Flanders and from the resulting assimilation of native
> Gaelic-speaking Scots. The Scots
> language is the resulting Germanic language still spoken in parts of
> Scotland and is very similar
> to the speech of the Northumbrians of northern England. Between the
> 15th and 17th centuries Scots
> spread into Galloway,Carrick and parts of the Scottish Highlands, as
> well as into the Northern
> Isles. The latter, Orkney and Shetland, though now part of Scotland,
> were nominally part of the
> Kingdom of Norway until the 15th century. A version of the Norse
> language was spoken there from
> the Viking invasions until replaced by Scots.
>
> Portugal and Spain also had some measure of Germanic settlement, due
> to the Visigoths, the Suebi
> (Quadi and Marcomanni) and the Buri, who settled permanently. The
> Vandals (Silingi and Hasdingi)
> were also present, before moving on to North Africa. Many words of
> Germanic origin entered into
> the Spanish and Portuguese languages at this time and many more
> entered through other avenues
> (often French) in the ensuing centuries (see: List of Spanish words of
> Germanic origin and List
> of Portuguese words of Germanic origin).
>
> Italy has also had a history of heavy Germanic settlement. Germanic
> tribes such as the Visigoths,
> Vandals, and Ostrogoths had successfully invaded and sparsely settled
> Italy in the 5th century.
> Most notably, in the 6th century, the Germanic tribe known as the
> Lombards entered and settled
> primarily in the area known today as Lombardy. The Normans also
> conquered and ruled Sicily and
> parts of southern Italy for a time. Crimean Gothic communities appear
> to have survived intact
> until the late 1700's, when many were deported by Catherine the Great.
> Their language vanished
> by the 1800's.
> The territory of modern Germany was divided between Germanic and
> Celtic speaking groups in the
> last centuries BCE. The parts south of the Germanic Limes came under
> limited Latin influence in
> the early centuries CE, but were swiftly conquered by Germanic groups
> such as the Alemanni after
> the fall of the Western Roman Empire. After the disappearance of
> Germanic ethnicities (tribes)
> in the High Middle Ages, the cultural identity of Europe was built on
> the idea of Christendom as
> opposed to Islam (the "Saracens", and later the "Turks"). The Germanic
> peoples of Roman
> historiography were lumped with the other agents of the "barbarian
> invasions", the Alans and
> the Huns, as opposed to the civilized "Roman" identity of the Holy
> Roman Empire.
>
> The Renaissance revived interest in pre-Christian Classical Antiquity
> and only in a second phase
> in pre-Christian Northern Europe. Early modern publications dealing
> with Old Norse culture
> appeared in the 16th century, e.g. Historia de gentibus
> septentrionalibus (Olaus Magnus, 1555)
> and the first edition of the 13th century Gesta Danorum (Saxo
> Grammaticus), in 1514. Authors of
> the German Renaissance such as Johannes Aventinus discovered the
> Germanii of Tacitus as the "Old
> Germans", whose virtue and unspoiled manhood, as it appears in the
> Roman accounts of noble savagery,
> they contrast with the decadence of their own day. The pace of
> publication increased during the 17th
> century with Latin translations of the Edda (notably Peder Resen's
> Edda Islandorum of 1665). The
> Viking revival of 18th century Romanticism finally establishes the
> fascination with anything "Nordic".
> The beginning of Germanic philology proper begins in the early 19th
> century, with Rasmus Rask's
> Icelandic Lexicon of 1814, and was in full bloom by the 1830s, with
> Jacob Grimm's Deutsche Mythologie
> giving an extensive account of the reconstructed Germanic mythology
> and his Deutsches Wörterbuch of
> Germanic etymology.
>
> The development of Germanic studies as an academic discipline in the
> 19th century
> ran parallel to the rise of nationalism in Europe and the search for national
> histories for the nascent nation states developing after the end of
> the Napoleonic
> Wars. A "Germanic" national ethnicity offered itself for the
> unification of Germany,
> contrasting the emerging German Empire with its neighboring rivals,
> the Welsche
> French Third Republic and the "Slavic" Russian Empire. The nascent
> German ethnicity
> was consequently built on national myths of Germanic antiquity, in
> instances such
> ast the Walhalla temple and the Hermann Heights Monument. These
> tendencies culminated
> in Pan-Germanism, the Alldeutsche Bewegung aiming for the political
> unity of all of
> German-speaking Europe (all Volksdeutsche) into a Teutonic nation
> state. Contemporary
> Romantic nationalism in Scandinavia placed more weight on the Viking
> Age, resulting
> in the movement known as Scandinavism. The theories of race developed
> in the same

> period identified the Germanic peoples of the Migration period as
> members of a Nordic
> race expanding at the expense of an Alpine race native to Central and
> Eastern Europe.